Les défricheurs à Keringard et Kerrérou

Ce lundi 29/04, nous étions sept pour faire un entretien des lavoirs.

A Keringard, nous avons nettoyé la fontaine, les murets de pierre et le passage sur le pont en pierre. Têtards, gammares, vélies et gerris sont présents. Une anguille a été vue récemment.

A Kerrérou, le niveau d’eau a été remonté. Une partie en herbe a été laissée pour satisfaire les libellules. Vélies, hydromètres, gammares et salamandres sont présents.

Réparation du four de Trébrévan

Les lundi 22 et mardi 23 avril 2024, nous avons réparé le four à pain de Trébrévan.
Lundi a été consacré à la préparation du chantier.
Mardi, dès 9h, nous avons été aidés et conseillés par le spécialiste de Tiez Brez, Georges Lemoine. Cette prestation était financée par la CCHPB.

La façade a été démontée, la sole remise à niveau, puis la façade a été remontée d’aplomb car celle-ci s’était effondrée sur la gauche.

La réparation en photos : https://photos.app.goo.gl/C8K5bffuZ1oZZXFa7

Les défricheurs à Lanvoran

Ce mardi 16 avril, nous étions cinq pour un entretient du lavoir de Lanvoran.

Les Sces. Tech. n’étant pas passés avant nous, nous avons dû retracer le chemin et l’escalier qui descendent au lavoir.
Dans le lavoir, nous avons dégagé le fond en laissant au milieu un îlot de verdure, cresson et petites lentilles d’eau. Ce qui offre deux milieux différents pour l’accueil de la faune. Pas de têtards visibles, juste puces d’eau et limnées. Après cela, une vélie, venue de la fontaine, avait déjà pris possession de la partie en eau libre. Le deuxième bassin a été sécurisé pour éviter qu’un promeneur trébuche dans le bassin qui était invisible sous la flore. Un barrage a été fait pour faire remonter le niveau d’eau dans les deux bassins, afin de favoriser la venue de tritons, salamandres et têtards.

Nous verrons plus tard, en observant une faune plus riche, si notre action porte ses fruits.

Quévaises : résumé d’articles divers

Sur un modèle ressemblant à celui du domaine congéable, on inventa un usement particulier nommé « Quévaise ». Celle-ci fut conçue pour attirer des travailleurs nés ailleurs qui trouvaient là une certaine liberté et une impunité car ils étaient souvent en infraction avec la loi. Ces lieux s’apparentaient aux Minihy et étaient des lieux d’asile. Les travailleurs recevaient, pour une durée illimitée, un lieu pour habiter et un journal de terre (½ hectare) pour lesquels ils devaient payer une rente annuelle. Tout le monde recevait et payait la même chose ce qui était rare à l’époque.

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